Kira Mukahi

Présentation du joueur

Prénom*: .....
Pseudo: Max, Maxou
Age: 19 ans
Sexe: Féminin
Ce que vous aimez/vos passions: Manga, Anime, Musique
Ce que vous détestez: Les légumes !!!!!!!
Comment avez-vous connu le forum ?: top site
Motivations pour le RP en général: Pour le moment moyen mais si les rp me plaisent je peux devenir accro ^^
Un commentaire? 8D: I Love Itachi XD



Présentation du personnage

Nom, prénom: Kira Mukahi
Age: 15 ans
Sexe: Féminin

Description physique: Elle n'a pas beaucoup changer depuis qu'elle est petite certes seulement la taille a changée, elle a gardé son visage d'enfant, certes à présent, on ne distingue plus ses sentiments car il semble resté figé depuis des années, un corps maigre par ses années d'enfermement dans une des cabines réservé aux cobayes de l'Otokage, son corps ne s'est pas tellement développer niveau poitrine, et taille, mais lui faisait garder une apparence plus jeune qu'elle n'a d'années.... Des jambes assez fines, des petits pieds, la peau d'un ton blanchâtres, prouvant qu'elle n'ai pas resté souvent au soleil et que le sous sol d'oto no kuni est sa seule maison, son seul abri.... Une chevelure violet claire lui donnant un visage serein, la rendant beaucoup moins triste à regarder... Jusqu'à maintenant, elle n'a porter qu'une paire de haillon comme tout les cobaye du sous-sol....Elle peut semble naïve par son regard adorable, mais pense souvent à tout les fois où son maitre est venu la voir.... Ne s'intéressant souvent qu'aux résultat des tests, mais juste le fait de le voir, faisait renaitre une joie en elle ...


Description psychologique: Autre fois Kira était une petite fille adorable joyeuse, tout la rendait heureuse, trouvant toujours les mots pour consoler les gens et les faire sourire .... Enfin cela était l'ancienne Kaori, depuis plusieurs années, elle s'est renfermé sur elle même, ne pensant plus par elle-même. Elle n'a pour seul maitre Orochimaru qui lui a donner une raison de vivre, elle aurait plus le considérer comme un père ou un grand frère mais pour elle qui ne sais pas ce qu'elle doit penser ou dire, elle se contente de le considérer comme son maitre, elle est une simple marionnette à la solde d'Orochimaru, ne contredisant aucuns propos, ne désobéissant jamais, restant toujours silencieuse et attentive devant la seule personne qui compte pour elle en ce monde ..... Elle ne parle que lorsque son maitre lui demande, elle 'n'obéis qu'à son maitre ....Même un membres du groupe des 5 du sons n'arriverai pas à la soumettre comme l'Otokage, un jouet, elle n'est qu'un jouet, un soldat qui obéis et qui n'hésite pas à tuer pour satisfaire son maitre ..... Sa raison de vivre ....Si orochimaru venait un jours à l'abandonner, elle se suiciderait sans doute dans les minutes qui suivent, n'ayant plus de raison de vivre....



Histoire: J'ai toujours vécu auprès de ma famille, médecin de générations en générations, ils utilisent leurs sang pour faire cicatrisé les plaies profondes dû au outils coupants comme les faux mais aussi des ninjas. J'ai appris de ma mère l'art de la confection de remède à base de plante et de sang. Un jours, où l'argent manquait abondamment pour subvenir au besoin de la famille, une grande décision devait se décider, étant 3 enfants dans la famille, et ne pouvant plus en nourrir un seul, ils durent prendre la lourde et pénible décision de les vendre, Mayu l'ainé partit dans un lieu de distraction pour hommes dans la grande ville la plus proche, le seul garçon des trois, du nom de Koya, fut acheté et adopté par une famille de planteur de riz, ses deux enfants avait la chance que leurs parents pouvaient venir les voir quand il le voulait, prendre des nouvelle, les prendre dans leurs bras pour leur prouver qu'ils les aimaient et les aimeraient toujours. Quant à moi, je fus vendu à un marchand vagabond qui parcourait les villes et villages à la recherches d'ouvriers pour soit disant une mine.... Mais ce n'était rien de tout cela, c'était un discipline d'un homme connue dans la région du nom d'Orochimaru, il était chargé de trouver des cobayes venant de différents endroits et de différentes caractéristiques, mes parents leur avaient parler du pouvoir de notre sang, et donc il paya soit disant plus chère pour les remercier... J'avais été vendu 1000 yen, de quoi se nourrir une semaine tout au plus, c'était une broutille, je n'avais pas penser que je serais loin de mes parents au moment où ils reçurent l'argent, mais eux semblaient savoir qu'on ne se ferait plus jamais, peut être la mine était trop loin pour eux, ils n'eurent même pas la force de me dire adieu, ils rentrèrent seulement dans la maison les billets en main comptant leur soit disant bonne affaire de la journée....

Pendant près d'une semaine, je dû suivre mon maitre, j'aurais un travail, à manger, peut être des amis de mon age dans cette mine, je suivais sans broncher j'avais 6 ans à cette époque, travailler à la mine était interdit au enfant j'avais appris cela à l'école, peut être que dans un autre pays que celui du feu, le travail des enfants était autorisé, j'avais appris à connaitre un peu l'homme, il venait d'Oto, dans les livres, on disais que ce pays était une dictature, j'étais trop jeune je ne comprenais pas le sens de ce mot. J'avais demander à l'homme ce que cela voulait dire, il m'avait répondu que cela était un pays de toutes les liberté, on faisait ce que l'on voulait et que c'était d'ailleurs à Oto que l'on allait et que j'y serait bien, la deuxième semaine, l'homme acheta un nouvel enfant, et aussi 2 enfant des rues, à qui il proposa un travail honnête et bien rémunéré. L'un des enfants commença à dire que cela n'était qu'un mensonge, qu'on allait souffrir, et peut être même mourir, les autres enfants recommencèrent à paniquer, moi je regardais la scène avec mon air innocent, ne comprenant pas tout les mots de leur bouches, l'homme me regarda, et me sourit , je lui souris à mon tour. Apparament, il avait compris que seule moi était encore d'accord à le suivre de mon plain gré, après tout je connaissais mieux l'homme que les autres, et je ne comprenais pas les craintes des autres, il s'agenouilla en face de moi, et me demanda de me bander les yeux, se que je fis sans broncher, je le sentis me pousser derrière lui, puis d'un coup, un long silence, je n'entendais plus les voix de jeunes garçons qui m'accompagnaient, sur le bandeau blanc que je m'était mis, une tâche rouge vint se poser, et s'étaler comme une gout d'eau sur du tissus... je sentis l'homme me prendre dans ses bras, les bandeaux encore sur mes yeux, après une dizaine de minutes de course dans l'herbe et la forêt, enfin c'est ce que je supposais, vu l'atmosphère sombre qui parcourait mon bandeau, il me reposa à terre, me retira le bout de tissus devant mes yeux.... J'étais belle et bien dans une forêt, l'homme s'était finalement assis contre un tronc, sortant un panier repas, moi je regardais autour de moi, pour tenter de savoir où étaient les autres enfants, je perdis vite fait cette idée en voyant l'homme me proposer à manger, j'étais affamé, le dernier repas datait d'hier midi.... L'homme dit soudainement d'une voix neutre ....

- Les personnes qui vont s'occuper de toi vont arrivé on les attends ici, profite en amuse toi ....

Sur ces paroles, je me mis à courir dans les hautes herbes après avoir manger, faisant des bouquets de fleurs comme toutes petites filles de mon âge, alors que je cueillais une fleur aux couleurs orangers rouge, trois hommes en blouse blanches se trouvaient en face de moi, je leur tendis une fleur, avec mon petit sourire adorable, l'un deux la pris puis la jeta lorsque j'eus le dos tourner. L'homme qui m'avait acheter commença à parler avec eux, je ne comprenais pas ce qu'ils disaient, j'étais trop petite, mes deux petites mains accroché à celle de celui qui m'avait amené jusqu'ici, ses mains étaient tâcher de ce même liquide rouge, c'était du sang.... Il me dis soudainement tout en me lâchant la main ...

- Tu vas partir avec eux à présent .... Travaille bien ....

Ce fut la dernière fois que je vis cet homme, mais la lumière du soleil, la caresse du vent, l'odeur des fleurs, le bruit des oiseaux, ils m'emmenèrent dans un sous sol, d'où pendant les 10 années suivantes, je ne sortis plus jamais ....

10 ans plus tard ....

Dix ans, je n'avais pas vu le temps passer, j'avais été occupé par diverses occupations, entrainements, expérimentation, injections, emprisonnement, et bien d'autres encore... Malgré ce temps perdu, je n'éprouvais ni haine, ni rage, ni envie de tuer une personne au hasard ni même cibler un personne en particulier. Je restais calme, assise par terre, fixant un endroit de ma pièce sans avoir aucunes raisons particulière de le faire. A ce moment là je n'avais que cela à faire, dans une cellule d'un mètre carré, plongé dans le noir totale, n'ayant que comme lumière un fin halo passant sous la porte, ne pouvant même pas éclairer mon doigt en le passant devant .... La seule chose qui donnait un peu d'ambiance dans cette endroit était les bruits de porte, je n'avais pas à me plaindre après tout, ma cellule était peu être petite mais au moins, elle était propre, un sol et les murs en carrelage gris et blancs, je ne pouvais voir leurs couleurs que lorsqu'on ouvrait la porte.

Voilà maintenant un mois que je n'était pas sortit de ma cellule, les gens qui s'occupaient de moi disait que je devais me reposer pour un examen finale, pour moi le mot Examen faisait référence à épreuve, lors de mon entrée en ce lieu, on m'avait fait passé ma première épreuve comme disait Maitre Orochimaru, et il en suivait beaucoup d'autre avant d'avoir sa confiance voilà les mots exacte de ma raison de vivre.... Enfin dans quelques jours peut être quelques heures, j'aurais sa totale confiance. C'était la chose que je voulais la plus au monde après mon désir de le servir jusqu'à ma mort..... Ce bruit, c'était les chaussures de la personne qui s'occupaient de moi, cela arrivait dans ma direction, sans même savoir s'il venait me chercher, je me leva et attendis debout derrière la porte, les autres prisonniers pensaient surtout à sortir d'ici, alors que moi je ne désirais que faire ce que me disait mon maitre. Le bruit d'une clé dans la serrure, il était bien venue pour me cherché, si j'avais pu exprimé ma joie, j'aurais sautillé comme une enfant dans tout les sens, mais ce genre de comportement, je ne l'ai connaissais plus du tout, on m'avait éduqué, dressé à être une arme, un soldat, un jouet pour mon maitre et seulement lui...

J'étais nu pieds habillé de morceaux de vêtements regrouper en un seul, sans doute les vêtements d'anciens prisonniers qui avaient désobéis à maitre Orochimaru, marchant derrière mon médecin, jusqu'à arrivé toujours dans la même salle, les murs et le sol en carrelage blanc, des ustensiles sur des tablettes en métal gris reflétant la lumière des puissants néons en plafonds, on attendais quelqu'un apparament, car j'étais assise sur la table d'observation à regarder le médecin fixer la porte comme si quelqu'un allait rentrer d'un moment à un autre...Après une vingtaine de minutes, les murs se mirent à trembler, se fissurant, le carrelage tombait en morceaux... Le médecin partit en courant de la pièce me laissant là, je ne bougeais pas, j'étais trop dépendante des gens, ne sachant que faire sans un ordre d'un supérieur,, j'entendis un cri, c'était la voix du médecin, ce cri me poussa à me lever, à aller voir pourquoi il criait ainsi, je n'avais pas crier de ma vie. Les yeux exorbités voilà le regard que me lançait le médecin bloquer ou plutôt écraser violament par un morceau du plafond, je ne faisais plus attention au médecin, pour la première fois en 10 dix,je regardais en l'air, les étoiles, je voyais le ciel enfin, moi qui pensais me trouver au fin fonds du souterrain, je n'étais qu'à un seul étage de la sortie. J'entendais les autres prisoniers criés à leur tour, les cellules du fond venaient de s'écrouler, je sentais le danger en ce lieu, mais je ne bougeais pas, je restais là fixant le ciel qui m'avait tant manquer, je ressentais le sentiment de liberté à cette vue.

Ma curiosité gagna sur ma soumission envers Orochimaru, je voulais m'approcher encore plus de ce ciel, je voulais le toucher, sentir la carèsse du vent de la nuit, je sauta hors de l'enfer pour retourner sur terre. Il y avait d'autre chakra autour de moi, je regarda un bref instant ses ombres qui partirent dans la nuit, une étoile filante passa sous mon regard, je me décida de la suivre, si je le pouvais, je l'avais perdue en une seconde, tout comme les ombres, je me retrouvais seule à nouveau ....

Merci ^^